Duel Sauvage

Goobah n'a pas oublié le thrall de Nassau qui lui a pris ses épées, biensur, les deux lames jumelles que son ancien maître lui avait offert en cadeau il y a bien longtemps. Il tient a les récupérer biensur, le poids des lames parfaitement adaptés au style de Goobah, et leur valeur sentimentale bien réelle. Coup de chance apres avoir longé les murs de la cité, il reconnait le thrall en question de loin, et s'approche alors de lui en inspirant un bon coup pour crier en sa direction: "Goobah venir te défier!! Reprendre ses Lames, VOLEUR"

Vahlar etait assit sur le sol au bord de la falaise , revassant a... il ne sait pas trop en fait.. il etait sur le point d'aller dormir, se levant deja peiniblement, fatigué de sa journée mais arretera ses pas en voyant une silouhette en approche. Il se rapproche un peu du bord plissant les yeux , il avait du mal d'ici a reconnaitre l'homme sauvage des jang'ka. il ne manquait pas de culot, vahlar aimait bien ca et il se rapprochera sans un mot de la tyrolienne, l'utilisant pour se rapprocher dangeureusement du sauvage, tombant sur ses pieds dans un petits bond.. "me defier ?" posant deja les mains sur ses hachettes qu'il detache, ni une ni deux, il lui fonce dans le lard, le combat debutait entre les deux sanguins

Vahlar range ses lames lentement a sa ceinture, il se penchera sur l'homme, lui tapottant les joues pour le reveiller. Il attendra patiemment que ce dernier retrouve ses esprits, il avait été courageux de se battre pour ses epées

Goobah se releve un peu étourdi et soupire, pas tres fier de sa performance. Il plisse du nez et regarde le thrall qui lui a piquer ses épées, celui-ci semblait plutot doué en combat rapproché ... ce qui rends la tache difficile pôur reprendre ses lames, mais goobah décide de tenter quelque chose: "Toi grand combattant, mais Goobah pourrait te vaincre avec épées"

Vahlar le regardera se redresser sans l'en empecher, sans le craindre non plus, sans se placer en defensif comme s'il attendait de lui le courage de ne pas frapper comme un lacher, il se verra satisfait d'avoir eut raison a son sujet. "je vais te rendre tes lames, et l'on va se battre encore juste pour te faire mentir" lui adressant un sourire amical. il partira en sourant vers le camps, fouillant les rateliers a la recherche des deux lames particuliere, puis reviendra pour les tendre une dans chaque mains a l'homme "les voila. Tu es brave" lui rendre ses armes etait pour lui une maniere de souligner son respect envers ce combattant de la jungle

Goobah attends patiemment a l'extérieur, et en voyant le Thrall revenir avec ses lames, il ne peut réprimer un sourire au coin de ses lèvres surtout apres avoir entendu les paroles de l'homme. Il va donc s'emparer de chacune de ses lames et les tates en les sous pesant un moment, content de les retrouver. Malgré la guerre entre les deux peuples, il respecte déja lui aussi le thrall, pas pour sa capacité a combattre mais pour le geste qu'il vient de faire: "Goobah pret"

Vahlar dessere ses doigts sur les lames, qu'il lui offre comme un juste retour des choses. il reprends ses hachetes par les manches et les fait tournoyer entre ses mains a la jackie chan en souriant avec espieglerie parce qu'il se la pete grave là. il s'arrete d'un coup en lancant un "pret"

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Vahlar range ses hachette a sa ceinture en glissant les manches.. il se rapproche de l'homme, halletant de leur echange forcené son buste se soulevait sous ses inspirations. il se penchera sur lui lui saisissant l'epaule pour la secouer, et l'aider a se relever, voulant faire vite de peur qu'un libre ne sorte de la cité

Goobah se releve, encore une fois étourdie, et ramasse rapidement ses deux lames au sol. Il se redresse et soupire, un peu déçu de ne pas avoir fait mieux contre le combattant. Il le regarde maintenant avec inquiétudes, il a perdu sans aucun doute et le thrall aurait pu reprendre les lames ou meme le faire prisonnier, il soupire donc: "Goobah pouvoir garder lames ? ou toi .. reprendre..."

Vahlar le suivra du regard silencieusement, il surveillait neanmoins l'entrée du camps semblant avoir plus peur pour le sauvage que le sauvage ne semblait avoir peur pour lui meme. il denegue de la tete lentement "garde les.. nous en avons d'autres et elles semblent te tenir a coeur" ajoutant "tu devrais filer avant que les libres ne rappliquent, on sait jamais.. moi je dois rentrer" prenant le temps de detailler le combattant en face de lui